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ROCK SUR LA BLANCHE

AFFICHE  1990

On remet à pleine gamme ....

Article Le Télégramme de BREST

lash back. En 1986, le Claj décide de mettre sur pied une fête du rock pour per-

mettre à la création locale de s'ex-primer. "Les groupes Brestois n'avaient pas souvent l'occasion de jouer devant un public, sur une scène et dans de bonnes conditions techniques. C'était donc pour eux, l'occasion de se faire mieux connaître", se souvient Jacques Guérin, aujourd'hui directeur du Centre de Création Musicale de Brest. Les années passent, la manifestation prend de l'ampleur. Survient le "couac" de 1989. Rock sur la Blanche a voulu s'ouvrir sur l'Europe. Des groupes de Berlin et de Barcelone se joignent aux formations brestoises. Le concert des trois "B" se déroule au parc des Loisirs de Penfeld. Le public boude. Déficit. Et le Claj en prend un coup au moral. "Il a fallu redynamiser toute l'équipe, raconte Christine Fouqueteau. Donner une dimension européenne au festival n'était pas

Paul BLOAS a apporté sa propre vision du festival

une mauvaise idée. Mais c'était sans doute aller trop vite, brûler les étapes. Dans l'avenir peut-être, on y verra... Mais cette année, il nous a paru indispensable de revenir aux notions qui avaient fait le succès des Rock sur la Blanche antérieurs".  Dès le mois d'octobre une équipe d'une quinzaine de bénévoles s'est donc mise au travail. Avec en tête cette idée forte de faire passer dans la population que le rock ce n'était pas seulement de la musique, ou du "bruit" pour ses détracteurs, mais aussi une forme de création culturelle, une certaine manière d'aborder les choses de la vie par les concerts certes, mais aussi par le cinéma, la peinture, la photo ou la bande dessinée. Pour faire passer le message, le plus simple était encore de s'appuyer dans les quartiers de la ville sur différents partenaires susceptibles de le relayer: associations, commerçants... C'est ainsi que les quatre grosses journées du festival se dérouleront dans des secteurs différents, avec le concours de ceux qui serviront, en quelque sorte, de trait d'union avec les habitants. Exemple: le concert du 2 Juin qui va, à Kérinou, donner son impulsion à l'édition 1990 de Rock sur la Blanche. Le Claj a mis un maximum de gens dans le coup, la ferme Jestin, le comité de quartier... pour les associer à son action. Chacun a jouer le jeu. Et si d'aventure le ciel, terreur sous nos latitudes des organisateurs de spectacles en plein air, avait décidé de ne pas en faire autant, eh bien il en serait pour ses frais! Les halles de Kérinou offrent en effet l'immense avantage d'être couvertes. Pas question donc pour la pluie d'espérer gâcher la fête... Le budget d'organisation, car il faut bien, n'est ce pas, évoquer le nerf de la guerre, s'élève cette année à 380.000 Frs. Le bénévolat qui s'est spontanément manifesté a permis de réduire les frais au maximum. C'est ainsi, et pour ne citer que lui car bien d'autres ont apporté leur pierre à l'édifice, que Paul Bloas, le peintre de rues, a gratuitement mis son talent à la disposition des organisateurs. Ces derniers ont pu également compter sur des subventions provenant de la ville de Brest,de la Direction Régionale des affaires Culturelles et de la  Sacem. Ils avaient sollicité les aides du conseil général et du conseil régional. Mais pour l'heure, le Claj est comme sœur Anne, il ne voit rien venir... (Article de presse 1990 : Le Télégramme de Brest)

En complément de l'affiche , une banderole Rock sur la blanche

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